Rachat par le Groupe YDEO du fonds de commerce Mix Ingrédients du Groupe WEISHARDT

Les groupes industriels français WEISHARDT et YDEO ont le plaisir d’annoncer l’acquisition en date du 5 janvier 2021, par la société FRANCE CULINAIRE DEVELOPPEMENT basée à Saint-Gilles en Ille-et-Vilaine (35), filiale du groupe YDEO, du fonds de commerce Mix ingrédients (gammes Gelarôme®, Acimix®, Stabi) du groupe WEISHARDT, qui représente un CA annuel de 6 M€.

Le groupe WEISHARDT a, quant à lui, décidé de concentrer sa stratégie de développement sur son cœur de métier : développer, produire et commercialiser des gélatines, collagènes et mix nutraceutiques à base de peptides de collagène sous l’ombrelle de sa marque Naticol®.

Pour répondre à une très forte croissance du marché des collagènes à l’International, l’atelier de mix d’ingrédients sera transformé en une nouvelle unité de mélange de Naticol® et à terme de mix nutraceutiques à visée beauté et santé. Le démarrage de cette unité est prévu début janvier 2022.

Pour le groupe YDEO, cette nouvelle opération vient renforcer significativement, en France et en Europe (Angleterre, Bénélux, Espagne, Hongrie, Pologne, Slovaquie, Suisse) sa position sur le marché de l’agroalimentaire et permet aux clients industriels, et notamment à ceux qui sont spécialisés dans la transformation des viandes, de bénéficier d’une gamme complète de gelées alimentaires « Gelarôme®» mais aussi de nombreux mélanges technologiques.

Un partenariat fort s’installe entre le groupe YDEO et le groupe WEISHARDT puisque, outre la reprise de cette activité, FRANCE CULINAIRE DEVELOPPEMENT sera un relais pour la distribution des gélatines alimentaires WEISHARDT® en France dans les domaines des produits salés.

Par ailleurs, le groupe WEISHARDT s’engage à accompagner FRANCE CULINAIRE DEVELOPPEMENT pour garantir à l’ensemble des clients une transition à qualité de produits et de services équivalente, par :

  • la mise à disposition de son outil de production pendant une période de transition qui s’achèvera au plus tard le 15 avril 2021,
  • la formation des équipes sur les recettes et leur mise en œuvre,
  • un accompagnement renforcé en matière de recherche et de développement et de contrôle qualité,
  • un accord de fourniture de gélatine garantissant à FRANCE CULINAIRE DEVELOPPEMENT l’utilisation de gélatines WEISHARDT® dans les mélanges.

Forts de leurs stratégies de développement les Présidents des deux groupes entendent renforcer rapidement leurs positions respectives chacun dans son secteur d’activité.

PRESSE

A l’occasion du changement de nom du Groupe, Ouest France a choisi de nous consacrer un article.

Le journal de Vitré : Benoît Fretin, un patron qui vit à 100 à l’heure

Le Journal de Vitré, article du 8 mars 2017 : interview de Benoît Fretin, Président Directeur Général du groupe B2F.


Benoît Fretin, un patron qui vit à 100 à l’heure.
Il a repris un hangar désaffecté en 1995 au Pertre, seul. Vingt ans plus tard, Benoît Fretin est à la tête d’un groupe de plus de 200 salariés, qui croît encore.

Article Le Journal de Vitré du 08/03/17 :

Il roule en Porsche la semaine… et le week-end. Du lundi au vendredi pour venir au travail. Le samedi et le dimanche sur les circuits automobiles, au volant d’une 997 Cup, où le Pertrais Benoît Fretin use sa passion pour l’endurance.

« Dans la vie, il y a un triptyque : le boulot, la famille et cette bêtise [le sport auto]… », résume le Breton. Un agenda déjà bien rempli, que le patron du groupe B2F vient de noircir de responsabilités supplémentaires.

« J’ai envie de rendre ça »
Depuis la fin de l’année 2016, il occupe à la CCI d’Ille-et-Vilaine le poste de vice-président à l’industrie et celui de président de la délégation de Fougères-Vitré, rebaptisée Marches de Bretagne. « On est venu un peu me chercher, précise Benoît Fretin. Un engagement qui coïncide avec une nouvelle ère dans le paysage économique vitréen. Des entrepreneurs historiques ont quitté la vie active. Dominique Langlois, à la SVA, par exemple. Les élus aussi approchent l’âge de la retraite : Pierre Méhaignerie et Dominique de Legge devraient tourner la page d’ici 2020. « Il y a un turnover. Il faut préparer la génération d’après », confirme le dirigeant d’Hydrachim, l’entreprise qu’il a lancée le 1er janvier 1996.
Benoît Fretin ne considère pourtant pas ce rôle à la CCI comme influent. Du pouvoir, il dit qu’il n’en a pas. « On n’est ni politique, ni syndical. Ce que l’on veut, c’est faciliter la vie des chefs d’entreprise. Nous sommes là pour les guider. » Les aider à la création, à la transmission.

« J’aimerais bien que ça dure »
Ce que prépare aussi le patron de B2F, à bientôt 49 ans. Il pense à ses deux fils. Le premier est à l’École supérieure de commerce de Rennes. Le second, encore au lycée, s’y voit aussi. Succéder à leur père, « ça les intéresse ». « J’aimerais bien que ça dure. Mais le but du jeu, ce n’est pas de casser le jouet, confirme le papa. Legendre, Clanchin : je suis entouré d’exemples où ça fonctionne.
En vingt ans, l’entrepreneur a multiplié le chiffre d’affaires de son groupe. D’abord en développant ses sociétés, ensuite en rachetant d’autres usines. Avec succès puisque B2F a encore connu une croissance de 13 % en 2016. Benoît Fretin reconnaît avoir un caractère fonceur. Casse-cou, non. « J’ai pris des risques, mais toujours à la limite. »

« Ne pas casser le jouet »
Dernier investissement en date : quelques billes dans le Five, le laboratoire numérique de Vitré communauté. Dans quelques semaines, une nouvelle recrue rejoindra le siège de B2F, à Étrelles, comme attachée de direction. Elle s’appelle Marie Lafont et est chargée du développement économique à Vitré communauté jusqu’en avril.

Lire l’article Le journal de Vitré

Ouest-France : Faire du sport avec son travail, c’est possible !

Article Ouest France du 14 novembre 2016 suite à la création d’une salle de sport au siège du groupe B2F.

Depuis un peu plus de deux ans et demi, la cinquantaine de salariés qui travaillent sur le site d’Etrelles (siège du groupe B2F) peut profiter d’une salle de sport sur place, sur leur lieu de travail. Une association – l’AS B2F – a d’ailleurs pour cela été créée.

Article Ouest France du 14/11/16 :

Des échos de l’éco. Associations, clubs, salles privées… le pays de Vitré est connu pour sa dynamique sportive. Dans certaines entreprises, on aide les salariés à franchir le pas.

Exemple pris avec le groupe B2F, basé dans la zone de Cap Bretagne à Étrelles. Une fois la porte franchie, l’entreprise est organisée comme n’importe quelle autre.
À un détail près : depuis un peu plus de deux ans et demi, la cinquantaine de salariés qui travaillent sur le site peut profiter d’une salle de sport sur place, sur leur lieu de travail. Une association – l’AS B2F – a d’ailleurs pour cela été créée.

Du temps pour la vie perso
« On en parlait, comme ça, depuis cinq ans environ », explique Benoît Fretin, le dirigeant. Alors, quand des locaux ont été disponibles, plusieurs machines de qualité professionnelle (tapis de course, vélos…) ont été achetées.
Un investissement « pas neutre financièrement » mais où tout le monde trouve son compte : « On y vient le midi ; c’est vraiment un gain de temps pour notre vie personnelle le soir ! s’accordent Marine, Anita, Blandine, Aurélie, Fanny et Julie, des salariées. On se motive ensemble et on y vient plus souvent car c’est plus facile que lorsqu’on est toute seule. ».
Les jeunes femmes organisent même leurs séances en ateliers, et en musique ! Et pour le bien-être, la cohésion et l’esprit d’équipe, c’est aussi un plus […].

Lire l’article Ouest France