Dakar 2024

Retrouvez sur cette page le résumé des folles journées de course de Benoit FRETIN qui court sous les couleurs du Groupe YDEO.

4 janvier 2024

5 janvier 2024

6 janvier 2024

7 janvier 2024

8 janvier 2024

9 janvier 2024

10 janvier 2024

11 janvier 2024

12 janvier 2024

14 janvier 2024

15 janvier 2024

16 janvier 2024

17 janvier 2024

18 janvier 2024

19 janvier 2024

Ydeo Compétition dans le grand monde

Deux ans après une première expérience captivante, Benoît Fretin et Patrice Etienne reprennent une part de désert en Arabie saoudite à l’occasion du Dakar-2024 (5-19 janvier), cette fois dans la catégorie-reine des « Ultimate ». Le duo d’Ydeo Compétition a embarqué dans l’aventure Jérémie Renou, novice en rallye-raid.
Si le réveillon a pu être célébré tranquillement à la maison, la nouvelle année va démarrer sur les chapeaux de roues dans le cadre enchanteur d’AlUla, oasis qui jalonne la route millénaire de l’encens.
C’est là, dans les royaumes disparus de Dadan et de Lihyan, que l’aventure commence pour les équipages d’Ydeo Compétition Benoît Fretin/Cédric Duplé, Patrice Etienne/Antoine Sanchez et Jérémie Renou/Nicolas Larroquet.
Entre le prologue du vendredi 5 janvier et l’arrivée deux semaines plus tard à Yanbu, sur les rives de la mer Rouge, c’est une plongée vertigineuse dans le désert saoudien qui attend les concurrents.
Annoncée par les organisateurs comme terriblement exigeante pour les hommes et les machines, cette 46e édition du mythique rallye-raid constitue un formidable challenge à relever sur 5000 kilomètres chronométrés.
« On a compris lors de notre première participation, en 2022, la philosophie de l’épreuve, sourit Benoît Fretin.
On est là pour souffrir et être poussés dans nos derniers retranchements !
Certainement encore un peu plus cette année, avec l’exploration sur trois jours du fameux Empty Quarter, cet immense désert dans lequel on va être livrés à nous-mêmes. »


Si le principe novateur du 48h chrono, double étape en autonomie et sans assistance – les 11 et 12 janvier – constituera le temps fort du rallye, les difficultés seront équitablement réparties sur les douze étapes.
« C’est une nouvelle aventure, un beau défi sportif, dit Patrice Etienne.
On a mesuré la difficulté de la tâche, mais j’ai moins d’appréhension qu’il y a deux ans, où c’était un vrai saut dans l’inconnu.
On aborde ce Dakar dans de bonnes conditions, avec du matériel bien préparé et une équipe très structurée. »


Arrivés au bout de leur premier Dakar au volant d’un « petit » SSV, Benoît Fretin et Patrice Etienne sont cette année montés en gamme. Dans l’habitacle de leur Century CR6, un deux-roues motrices qui développe 450 chevaux, ils concourent dans la catégorie-reine, celle des « Ultimate ».
L’auto a été prise en main lors de deux rallyes au Maroc et les sensations sont bonnes. « Le premier objectif est d’aller au bout, indique Benoît Fretin. Et si on parvient à finir dans le Top 30, ce serait génial. »
Des objectifs de classement, Jérémie Renou se garde bien d’en formuler. Embarqué dans l’aventure au volant d’un buggy Can-Am Maverick XRS Turbo, le néophyte s’attend à « manger beaucoup de sable ».
« Je me lance sans aucune prétention, avec beaucoup d’humilité, dans l’espoir de franchir la ligne d’arrivée ».
Celle-ci se présentera le 19 janvier, au terme d’une quinzaine excitante que les membres d’Ydeo Compétition abordent avec ambition et raison.

Ils ont dit :
Benoît Fretin : « Avec Patrice Etienne et Jérémie Renou, on exerce tous les trois le même métier de chef d’entreprise. Tout au long de l’année, on est confrontés aux mêmes problèmes et aux mêmes difficultés. Participer au Dakar est un défi du même acabit. Ça permet aussi de se vider la tête et d’être en forme pour bosser ! »
Patrice Etienne : « Pour moi, le Dakar est avant tout une aventure humaine et un beau challenge sportif. J’ai 58 ans et je sais que je ne vais pas encore participer à dix éditions. Donc j’ai envie d’en profiter, de ne pas avoir de regrets. Par rapport à ma première participation en buggy, j’apprécie aussi par anticipation d’avoir à manger moins de poussière ! »
Jérémie Renou : « J’ai démarré le rallye-raid cette année, à travers deux expériences au Maroc. Au Dakar, je m’attends à éprouver mon corps et mon esprit comme jamais. C’est un peu comme si je venais de débuter le ski et me retrouvais déjà sur une épreuve du championnat du monde ! Mon objectif ? Ramener chaque soir la voiture dans le meilleur état possible. »

Ydeo Compétition : entrée digérée avant le plat de résistance !

Les trois équipages d’Ydeo Compétition ont parfaitement géré le prologue du Dakar-2024, ce vendredi dans le cadre enchanteur d’Al-‘Ula. Ils peuvent aborder avec sérénité l’étape 1, déjà un très gros morceau de cette 46e édition frappée du sceau de la difficulté.

Ils commençaient un peu à tourner en rond, comme des lions en cages, dans le « start camp » d’Al-‘Ula. Puis la grille s’est ouverte, ce vendredi matin, et les fauves ont été lâchés dans le désert saoudien.
Dans le camp d’Ydeo Compétition, le prologue de 27 kilomètres devait servir à reprendre ses marques, éprouver la mécanique et alimenter le capital confiance. Mission remplie pour les trois binômes réunis par Benoît Fretin au départ de ce Dakar !
La performance du jour est signée par les rookies Jérémie Renou/Nicolas Larroquet (#425). Dans les baquets de leur Can-Am Maverick XRS Turbo, les duettistes se sont élancés de la 135e place, toutes autos confondues, pour remonter jusqu’au 105e rang. Dans leur catégorie (T4), ils se classent 14e sur 36 partants.
« On a roulé ‘’tranquille’’, en toute sécurité, et on a eu la bonne surprise du chrono, dit Jérémie Renou. Pour autant, on ne va pas s’enflammer. Le rallye commence réellement ce samedi. Lors des trois prochaines étapes, on a plus à perdre qu’à gagner. »


Patrice Etienne et Antoine Sanchez (#270) ont aussi eu de « bonnes sensations » dans l’habitacle du Century CR6. « On n’a pas eu d’appréhension, il a juste fallu rester vigilant jusqu’au bout parce que tu as vite fait de te ‘’tanker’’ si tu te relâches ne serait-ce qu’un instant », précise Patrice Etienne. L’équipage n’a pas eu à pelleter et rallie le bivouac au 108e rang au général, le 54e en Ultimate.
Quant au patron Benoît Fretin et son copilote Cédric Duplé (#261), dans l’autre Century CR6, ils ont aussi avalé l’entrée sans risquer l’indigestion, à la 100e place du général, la 51e en Ultimate, à 4’28’’ du vainqueur du jour, le Suédois Mattias Ekström (Audi).


« Ce n’était qu’un prologue, mais il fallait l’aborder de manière sérieuse, insiste Benoît Fretin. Je n’ai même pas eu l’occasion d’admirer le paysage ! On a fait un joli tir groupé aujourd’hui et on est plus ou moins à notre place, dans le milieu du paquet. La course par élimination peut commencer. On est prêt ! »
Ce samedi, le trio d’Ydeo Compétition s’attend à être mis à rude épreuve entre Al-‘Ula et Al Henakiyah, lors d’un marathon de plus de 400 kilomètres au pied des volcans et dans les cailloux. Le Dakar commence maintenant.

Ydeo Compétition : à la lumière des bougies !

On leur avait promis l’enfer. Les trois équipages d’Ydeo Compétition ont déjoué les pièges d’une première étape au pied des volcans saoudiens, ce samedi, lors de la première étape du Dakar-2024 qu’ils ont bouclée à la nuit tombée.

Vu du ciel, le décor ressemble à une carte postale envoyée de Mars. Mais quand les quatre roues crissent sur la roche abrasive des rochers volcaniques, la mission peut vite virer au cauchemar.
Ce samedi, le premier morceau de bravoure du Dakar-2024, une spéciale de plus de 400 bornes entre Al-‘Ula et Al Henakiyah, a laissé du monde au bord du chemin.
Les trois équipages d’Ydeo Compétition, eux, sont rentrés au bercail. 
Un peu plus tard que prévu, certes, puisque le départ avait été repoussé d’une heure. Et même à la lumière des bougies – ou plus exactement de la rampe de phare – puisque le soleil s’était déjà couché quand ils ont attaqué les derniers kilomètres.


Le duo Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261) a réalisé la meilleure opération du jour. Parti de la 100e place, il s’est présenté au bivouac en 61e position. « On ne pouvait pas espérer mieux, dit le patron-pilote. On a fait le job, à savoir rouler sans prendre de risque et sans faire de faute. »
Hormis pour un changement de roue express à la suite d’une crevaison et un court instant de répit devant une coulée géologique de lave, la progression n’a jamais été interrompue.


Dans l’habitacle de l’autre Century CR6, le binôme Patrice Etienne/Antoine Sanchez (#270) a aussi poursuivi sa remontée, bouclant l’étape au 73e rang. « La journée a été éprouvante, on a fini au ralenti parce qu’on n’y voyait plus rien à la nuit tombée, mais on n’est pas descendu une seule fois de la voiture », se réjouit Patrice Etienne.
Dans les baquets du buggy Can-Am, la paire Jérémie Renou/Nicolas Larroquet (#425) a un peu plus galéré. Mais les deux hommes ont aussi fini par couper la ligne d’arrivée à la 23e place de la catégorie SSV. 
Histoire de retaper les corps et les esprits, tout le monde est passé entre les mains de l’ostéopathe, histoire de profiter d’un sommeil réparateur et de se lever du bon pied pour attaquer la deuxième étape, ce dimanche.

Ydeo Compétition : la dure réalité du Dakar

La deuxième étape du Dakar-2024, ce dimanche dans le désert saoudien, a été impitoyable pour un des membres du trio d’Ydeo Compétition. Le binôme Patrice Etienne/Antoine Sanchez a été contraint de jeter l’éponge.

L’ambiance était un peu lourde sous les auvents d’Ydeo Compétition, ce dimanche soir au bivouac d’Al Duwadimi. 
La faute à une journée compliquée pour l’équipage Patrice Etienne/Antoine Sanchez (#270), qui n’a pas pu rallier l’arrivée. 
Patrice Etienne a été rattrapé par des douleurs aux rachis cervical consécutives à une sortie de route au rallye du Maroc, en octobre dernier. 
En pleine spéciale, il a préféré couper son effort. Le service médical de l’épreuve l’a invité à ne prendre aucun risque. Une décision définitive quant à la suite sera prise ce lundi après une « journée off ».
Les deux autres équipages ont été affectés par ce coup du sort. « On relativise parce qu’on a récupéré tout le monde ce soir et qu’il n’y a rien de grave, mais c’est le Dakar », dit Benoît Fretin, un brin fataliste.
Forcément, les performances sportives sont passées au second plan. Dans l’habitacle du Century CR6, la paire Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261) passe rapidement sur sa 67e place de l’étape et la 60e au général.


« La mésaventure de Patrice nous a confortés dans l’idée de nous montrer raisonnables, dit le patron-pilote. L’objectif reste le même : boucler les premières étapes pour arriver sains et saufs jeudi dans l’Empty Quarter. »
Pour le duo Jérémie Renou/Nicolas Larroquet (#425), la journée a été moins agitée que la précédente, où il avait fallu composer avec deux crevaisons et un amortisseur cassé. Dans la catégorie SSV, le buggy Can-Am est ainsi remonté à la 20e place sur 36 partants.
« On apprend tous les jours, dit le néophyte Jérémie Renou. Aujourd’hui encore, on a compris comment s’y prendre pour franchir les premières dunes, ou plutôt ce qu’il fallait éviter de faire pour ne pas rester plantés au sommet ! »


Ce lundi, les deux équipages d’Ydeo Compétition encore en course voudront rallier le bivouac Al Salamiya sans encombre. « On est passés en mode commando », conclut Jérémie Renou après ce dimanche difficile.

Ydeo Compétition : « Un travail d’équipe »

Si le duo Patrice Etienne/Antoine Sanchez (#270) s’est définitivement retiré du Dakar-2024 ce lundi, les deux autres équipages d’Ydeo Compétition poursuivent leur petit bonhomme de chemin grâce au travail de toute une équipe.
Rattrapé par une douleur aux cervicales dimanche en pleine spéciale, Patrice Etienne a sagement décidé de rendre son carnet. Ce lundi, le pilote de l’un des deux Century CR6 aux couleurs d’Ydeo Compétition quittait l’Arabie saoudite pour rentrer à la maison.
Perturbés par ce coup du sort lors de l’étape 2, les deux autres équipages sont repartis à la bataille ce lundi, entre Al Duwadimi et Al Salamiya (438km) sur la route du sud-ouest du royaume.


Le premier volet de l’étape-marathon a offert un spectacle à couper le souffle et un éventail de difficultés variées et conséquentes. 
Le duo Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261) est sorti de la spéciale en 80e position, ce qui le place au 65e rang au général, le 35e en catégorie  »Ultimate ».
« Nous avons testé les grandes dunes pour voir comment ça se passera dans l’Empty Quarter, le fameux désert qui nous attend en fin de semaine, dit Benoît Fretin. On a réussi à les passer, malgré un ‘’tankage’’ de 15 minutes et une crevaison. L’objectif est atteint. »


Il en va de même pour la paire Jérémie Renou/Nicolas Larroquet (#425) qui a fini l’étape dans la poussière et de nuit à la 18e place, la 21e au général dans la catégorie SSV avec le buggy Can-Am de plus en plus confortable à piloter grâce à un réglage optimal des amortisseurs.
Si les équipages d’Ydeo Compétition parviennent à être efficaces en course, ils le doivent donc aussi au travail de l’ombre de leur équipe. « Charlotte, notre ingénieur qui commande toute cette belle petite troupe en harmonie, et nos mécanos enchaînent les grosses journées et les courtes nuits, je tiens à les en remercier », insiste le patron-pilote.


Un compliment qui devrait mettre du baume au cœur de Patrice, Fabien, Louison, Jean-Daniel, Cyril, Anthony, Regis, Florent et de l’osthéo Arnaud, sans qui la « mission Dakar » ne serait pas possible.

Ydeo Compétition : une journée au plus-que-parfait

De beaux sourires illuminaient les visages des membres d’Ydeo Compétition, ce mardi au sortir d’une étape 4 où les deux équipages ont réalisé leur meilleure performance depuis le départ.

Après une nuit passée sous la tente, dans le pur esprit « rallye-raid » pour marquer la mi-temps de la spéciale marathon, la caravane du Dakar a repris la route. Cap a été mis à l’Est, entre Al Salamiya et Al-Hofuf pour une spéciale plus courte (299 km), mais tout aussi intense que les précédentes.


Le duo Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261) a signé le 46e temps du jour, le 32e dans la catégorie reine Ultimate, pour un encourageant 59e rang au classement général. 
« C’est la meilleure spéciale de ma vie, assure le pilote. Tout a fonctionné à merveille : notre Century était parfaitement réglé, mes yeux étaient calés au bon endroit et le tracé du jour allait parfaitement aux deux roues motrices. On a fini à quarante minutes des pilotes pros. Je ne pouvais pas rêver mieux. »


En fin de spéciale, l’équipage a aussi pu se tester sur un cordon de dunes qui annonce la couleur pour les trois jours à venir, dans l’océan de sable de l’Empty Quarter.
« On a pu se tester et aussi se rassurer, poursuit Benoît Fretin. On va pouvoir attaquer le morceau de bravoure de ce Dakar avec sérénité et confiance. »
Le même sentiment du devoir accompli transparaissait dans les propos du binôme Jérémie Renou/Nicolas Larroquet (#425), qui a rallié le bivouac en 11e position de la catégorie SSV. 


« C’est notre meilleur classement sur ce Dakar, dit Jérémie Renou. On était même à un moment en 7e position en cours de spéciale. Il faut dire que notre buggy n’est plus le même depuis que nos mécanos ont changé le turbo et peaufiné les réglages des amortisseurs. On s’éclate vraiment ! »


Après cette journée faste, les deux équipages d’Ydeo Compétition s’attendent à des étapes plus compliquées dans l’Empty Quarter. « C’est dans la souffrance que l’on éprouve du plaisir », conclut Jérémie Renou, aussi motivé que Benoît Fretin par les difficultés à venir.

Ydeo Compétition : l’aventure, c’est l’aventure !

Après avoir vécu quelques péripéties lors de l’étape 5, ce mercredi sur le Dakar, les deux équipages d’Ydeo Compétition sont parés au décollage dans les grandes dunes de l’Empty Quarter. C’est parti pour deux jours d’aventure.

La veillée d’armes avant le grand combat n’a pas été de tout repos. Dans une spéciale « 100% dunes » sur la route du sud-est du royaume en direction de Shubaytah, porte d’entrée de l’Empty Quarter, aux confins d’Oman et des Emirats arabes unis, le duo Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261) a un peu ramé.
La 119e place de l’étape témoigne des difficultés du jour, vite oubliées avec un solide 62e rang au général. « Dans cet environnement, on a encore besoin d’augmenter notre capital connaissance, note le patron-pilote. En une journée, nous avons gravi plus de dunes que sur l’ensemble du rallye du Maroc. On progresse, même si ça n’est pas encore instinctif. »


La journée a été bien plus mouvementée pour le duo Jérémie Renou/Nicolas Larroquet (#425). « J’ai bien cru que nous allions passer la nuit dans le désert, dit le pilote. Nous avons un peu galéré dans une dune, avant de tomber en panne d’essence. On a passé quelques heures à côté du buggy jusqu’à l’arrivée de notre assistance. Dans ces cas-là, on perd vite la notion du temps ! »
Ces péripéties ne refroidissent pas les membres d’Ydeo Compétition, prêts à en découdre dans la spéciale « 48 heures chrono » faite de 570 kilomètres de dunes, rien que de dunes, encore de dunes, avec une nuit sous la tente au milieu entre jeudi et vendredi pour reposer les corps et les machines.


« On va voir comment vont se comporter tous les concurrents quand on sera tous sortis de notre zone de confort, conclut Benoît Fretin. Il va se passer des choses dans l’Empty Quarter. On n’y va pas forcément de gaité de cœur. Mais quand il faut y aller, il faut y aller !»

Ydeo Compétition : quand t’es dans le désert…


Le tube de Jean-Patrick Capdevielle est un peu daté, mais il illustre bien la thématique de l’étape 6 du Dakar, une immersion de « 48h chrono » dans l’Empty Quarter. Si les deux équipages d’Ydeo Compétition sont bien dans le désert, ils ne comptent pas y rester trop longtemps !
Sans assistance ni téléphone, avec juste une tente, un duvet et une ration de combat, les concurrents du Dakar-2024 ont entamé ce jeudi une vertigineuse plongée de deux jours dans l’Empty Quarter, cet immense désert au sud du royaume saoudien.


Sous les roues, le sable, et à l’horizon, des dunes à perte de vue : voilà pour le décor. Au menu, une boucle de quelque 550 kilomètres à refermer en deux jours. 
La règle du jeu est simple : à 16 heures pile, les portes du désert se referment. Peu importe où il se trouvent et les galères qu’ils ont traversées, les équipages doivent rallier le bivouac le plus proche pour y passer la nuit, se reposer et reprendre la piste vendredi matin.


« On parle de ces ‘’48 heures chrono’’ depuis le départ, non pas par plaisir, mais parce que l’on n’a pas le choix », expliquait Benoit Fretin avant de s’élancer au volant de son Century CR6. Dans cet océan de sable, les prévisions initiales ont évidemment été battues en brèche. 
« On aimerait avoir bouclé la moitié du parcours sur cette première journée, poursuit le patron pilote. Mais si on n’y arrive pas, ça ne sera pas une catastrophe. Face à la difficulté, on sera tous égaux. La solidarité ne sera pas un vain mot. »


Le duo Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261) a pu le vérifier puisque son avancée a été brutalement interrompue par une casse moteur. La réparation est possible, mais ne peut être envisagée que ce vendredi. 
En attendant, l’équipage a passé la nuit sur le premier premier bivouac, 193 km après le départ, rejoint par Jérémie Renou/Nicolas Larroquet (#425).


Une première victoire avant de reprendre la route, puis à rallier la capitale Ryad pour une journée de repos attendue et bien méritée.

Ydeo Compétition : le repos des guerriers

Les deux équipages d’Ydeo Compétition sont sortis indemnes des terribles dunes de l’Empty Quarter, ce vendredi, et vont pouvoir bénéficier d’une journée de repos à Ryad avant d’attaquer la seconde semaine du Dakar-2024. Avec le même état d’esprit : être sérieux et prendre du plaisir.

« Un truc de cinglés ! » Comme un cri du cœur, Benoît Fretin a décrit son expérience inédite dans l’immensité de l’Empty Quarter, désert du sud du royaume grand comme la France…
Entre les dunes, il faut dire que la paire Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261) a vécu quelques galères de nature à tanner le cuir de n’importe quel équipage, même des plus aguerris !
Jeudi soir, un vent de panique a ainsi parcouru l’habitacle du Century CR6. 
« Lors d’une marche arrière pour me sortir d’une dune, j’ai relâché l’embrayage trop tôt. On a vu des flammes sortir à l’arrière, le moteur s’est mis à crépiter. On a eu peur que la voiture brûle sous nos yeux », raconte le patron-pilote.
Après deux heures à tenter de trouver une solution pour sortir de la spéciale, Benoît Fretin a tenté, par reflexe, de rallumer le moteur. Par miracle, il s’est remis en marche, comme si de rien n’était !


Le duo a alors pu rallier le bivouac le plus proche pour passer une nuit au calme, puis repartir vendredi et boucler les « 48h chrono » à la 100e place. Au général, la voiture #261 pointe à la 68e place, la 36e de sa catégorie Ultimate.
De son côté, le binôme Jérémie Renou/Nicolas Larroquet (#425) a passé une bonne partie de la nuit les mains plongées dans les entrailles du buggy Can-Am. Un amortisseur et un triangle en vrac ont nécessité une grosse séance de mécanique.


Eux aussi ont pu repartir vendredi pour rentrer au bivouac en milieu d’après-midi à la 92e place du général auto, la 19e de leur catégorie SSV.
« Le team a abattu un gros boulot durant cette première semaine, tout le monde peut être satisfait de son investissement, conclut Benoît Fretin. On va passer une bonne journée de repos à Ryad et finir proprement le rallye. »

Ydeo Compétition : du rythme et de l’abnégation

Au lendemain de la journée de repos, les deux équipages d’Ydeo Compétition ont abordé ce dimanche la seconde semaine du Dakar avec entrain. De bon augure pour espérer voir la ligne d’arrivée.

La caravane du Dakar a quitté le sud-est du royaume et les dunes de l’Empty Quarter pour entamer une diagonale vers le nord-ouest jusqu’à Yanbu, théâtre de l’arrivée de cette 46e édition particulièrement épicée.


Après une pause bienvenue dans la capitale Riyad, à l’occasion de la journée de repos, c’est un gros morceau qui attendait les équipages d’Ydeo Compétition pour la journée de reprise, avec 873 kilomètres pour rallier Al Duwadimi, dont 483 mesurés par l’impitoyable chrono.
Le duo Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261) a vécu un dimanche parfait. Au volant de son Century CR6, le patron-pilote a pu rouler « sur un gros rythme de bout en bout ». En s’élançant du 97e rang au général, il a ainsi remonté le peloton.


« On a dû dépasser une quarantaine de véhicules, alors que la spéciale n’était vraiment pas facile en termes de navigation, indique-t-il. La difficulté, dans ces cas-là, consiste à ne pas se laisser griser. Il faut trouver sa limite maximum au-delà de laquelle il ne faut pas aller pour ne pas tout compromettre. »
Cela a plutôt bien fonctionné, puisque l’équipage rallie le bivouac au 51e rang, le 58e au général et le 33e dans la catégorie Ultimate. « Chaque kilomètre parcouru apporte de l’expérience, poursuit Benoît Fretin. C’est en vieillissant que l’on devient efficace en rallye-raid. »


Pour le binôme Jérémie Renou/Nicolas Larroquet (#425), il faudra donc encore attendre un peu avant de maîtriser pleinement toutes les subtilités du Dakar. Rentrés à la nuit tombée en 23e position de l’étape et à la 17e place au général en catégorie SSV, les néophytes s’accrochent.
« Je suis admiratif parce qu’ils se battent chaque jour et font preuve d’une grande abnégation », conclut Benoît Fretin.
La ligne d’arrivée, vendredi à Yanbu, n’est désormais plus si loin.

Ydeo Compétition : la journée des débutants ! 

Bouleversement majeur chez Ydeo Compétition : ce lundi, lors de la 8e étape du Dakar, Jérémie Renou a bousculé la hiérarchie en devançant Benoît Fretin jusqu’à mi-spéciale. Mais le patron a fini par remettre de l’ordre dans la maison. 

Il s’en est fallu de peu, dans la fraîche nuit du bivouac de Ha’il, au point le plus septentrional du Dakar, pour que les membres d’Ydeo Compétition tombent des nues. 
Habitués à voir rentrer le puissant Century CR6 de Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261) bien avant le petit buggy Can-Am de Jérémie Renou/Nicolas Larroquet (#425), les mécanos ont failli assister à un renversement de situation improbable !
« On a réalisé une superbe spéciale, sans le moindre pépin mécanique ni crevaison, apprécie Jérémie Renou. Ça a été notre meilleure journée depuis le départ de ce Dakar. A mi-spéciale, au sortir des dunes, on était devant Benoît ! »


Au volant d’un véhicule deux fois plus puissant que celui de son coéquipier, le patron-pilote reconnaît sans mal s’être laissé endormir au départ d’Al Duwadimi. 
« Dans les dunes, je n’étais pas dans le rythme. Quand on est arrivé à mi-parcours, j’ai vu le temps de Jérémie. Je me suis dit : ‘’Mais non, ce n’est pas possible ! ‘’ Sur la seconde partie, plus roulante, on a appuyé un peu plus fort sur la pédale d’accélérateur ! »


Le mano a mano interne a alors tourné à l’avantage de Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261), 67e de l’étape et 57e au général.
« Par courtoisie, on a levé le pied, sans quoi notre team aurait volé en éclats », rigole Jérémie Renou, néophyte sur le Dakar et qui comprend chaque jour un peu plus les subtilités de la discipline. 


« En rallye-raid, la vitesse ne fait pas tout. La lecture de la piste et le dosage de l’effort sont bien plus importants », dit celui qui finit au 69e rang des autos, à moins de deux minutes du ‘’véhicule frère’’, et 10e de sa catégorie SSV.


Bref, à quatre jours de l’arrivée, l’ambiance est au beau fixe dans les rangs d’Ydeo Compétition. A ce rythme-là, Yanbu sera rallié sans difficulté !

Ydeo Compétition : à trois étapes du but !  

La ligne d’arrivée de ce Dakar se devine au loin, au-delà des amas rocheux et des canyons d’Al’-Ula. Les deux équipages d’Ydeo Compétition ont franchi ce mardi sans encombres les embûches de la 9e étape et se rapprochent de l’objectif final. Plus que trois jours à tenir ! 

La routine, ou presque. En bientôt deux semaines de course, les membres du team Ydeo Compétition ont pris leurs marques, à la fois sous les auvents des mécanos et dans les deux véhicules qui sillonnent chaque jour les pistes d’Arabie saoudite. 
Pourtant, chaque matin, c’est un kadéiloscope époustouflant qui se présente à leurs yeux. Désormais loin des dunes vertigineuses de l’Empty Quarter, la caravane du Dakar poursuit sa diagonale vers le nord-est et l’objectif final : la mer Rouge et Yanbu, là où sera jugée l’arrivée de cette 46e édition.


Des rochers gros comme des maisons, des plateaux, des canyons, encore quelques dunes à franchir : les difficultés ne manquent pas en cette fin de Dakar, mais tout le monde garde sa concentration.
Ce mardi, Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261) ont poursuivi leur petit bonhomme de chemin au volant d’un Century CR6 toujours aussi fiable.
« Mon principal souci, c’est de lutter chaque jour contre le coup de pompe qui intervient à mi-spéciale, rigole Benoît Fretin. C’est généralement le moment où Cédric me dit : ‘’Hé, tu t’endors, on est sur un faux-rythme !’’ Comme je n’ai pas prévu de remporter le Dakar, ma seule motivation consiste à faire plaisir à tous ceux qui regardent mon classement. Je ne veux pas être à la rue ! »
Les suiveurs peuvent être rassurés : 63e de l’étape et 53e au général, l’équipage est toujours dans le coup.


De leur côté, les duettistes du Can-Am Jérémie Renou/Nicolas Larroquet (#425) ont aussi trouvé leur rythme de croisière. 
« Ça fait deux étapes de suite où l’on ne rentre pas de nuit, on ne sait même plus faire fonctionner la rampe de phare », se marre Jérémie Renou, 96e de l’étape toutes autos confondues et 84e du général.


L’équipage du buggy s’est fixé un objectif pour cette fin de rallye : « On veut essayer de faire un bon résultat mercredi, pour pouvoir partir le plus tôt possible jeudi, lors de l’étape que l’on nous présente comme étant très difficile. On sent que l’arrivée est proche, on n’a plus envie de galérer ! »
Il reste encore trois étapes à valider avant la délivrance. Pour Ydeo Compétition, c’est la routine, ou presque…

Ydeo Compétition : plus ça va, mieux ça va !

En cette fin de Dakar, au sortir d’une 10e étape avalée avec appétit d’ogre ce mercredi autour d’Al’-Ula, les deux équipages d’Ydeo Compétition tiennent leur rang et montent même en régime. Le plaisir est intense.

Dans la douceur hivernale d’Arabie saoudite, le Dakar-2024 va peut-être s’arrêter trop tôt. Plus les jours passent, plus l’envie va crescendo sous les auvents d’Ydeo Compétition.
Au bivouac de fin d’étape, cela se traduit par de grands sourires sur les visages des équipages et beaucoup d’abnégation dans les rangs des mécanos.
Au sortir de la boucle de 371 km autour d’Al-‘Ula, un slalom intense entre les rochers monumentaux de ce site envoûtant, le duo Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261) a signé une sacrée ‘’perf’’ au volant du Century CR6.


« J’ai fait la spéciale de ma vie, s’enthousiasme le patron-pilote. On n’a pas crevé, on ne s’est pas arrêté, j’ai roulé au max de bout en bout. »
Le classement vient corroborer son impression : une 24e place en Ultimate (T1), une 28e au général de l’étape, à seulement trois minutes de Carlos Sainz et huit de Sébastien Loeb !


« Bon, on n’a pas vécu les mêmes galères que les cracks, mais c’est quand même une sacrée fierté, développe Benoît Fretin. Demain, on va partir pas trop loin derrière Loeb. Je lui apporte tout mon soutien et lui souhaite le meilleur dans sa quête de succès. »
Et de conclure, à travers un message ‘’personnel’’ à qui de droit : « Cécile, je peux te le dire dès à présent, je n’arrête pas le rallye-raid ! »
La même bonne humeur était perceptible du côté de Jérémie Renou et Nicolas Larroquet (#425). En 8e position de leur catégorie des SSV après 40 km, puis redescendu au 15e rang après avoir subi une crevaison, puis rencontré un petit souci mécanique, le binôme du buggy Can-Am n’en demande pas plus.


« On n’a pas pris particulièrement de plaisir sur la piste aujourd’hui, mais on prend tous les jours dans cette équipe », apprécie Jérémie Renou, en passe de boucler son premier Dakar.
A deux jours de l’arrivée, sur les bords de la mer Rouge, le moral est au beau fixe chez Ydeo Compétition.

Quand Ydeo Compétition se met au service de… Sébastien Loeb !  

C’est une de ces histoires improbables que seul le Dakar peut réserver : ce jeudi, lors de l’avant-dernière étape entre Al’-Ula et Yanbu, Ydeo Compétition aurait pu devenir l’ange gardien de Sébastien Loeb. Récit.

Mercredi soir, à l’abri des regards indiscrets sur le bivouac d’Al-‘Ula, des mains expertes se sont affairées dans les entrailles du Century CR6 du duo Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261). Un peu en retrait, un certain Sébastien Loeb assistait à la scène.
Et pour cause : le nonuple champion du monde des rallyes était venu une livrer une roue de secours pour son 4×4 Hunter encore en lice pour la gagne. Privé de son équipier Nasser al-Attiyah, déjà rentré à la maison, il cherchait un allié en mesure de le dépanner en cas de crevaisons à répétition.


Benoît Fretin, grand fan du pilote alsacien, n’a pas hésité un instant quand il a eu vent de cette demande pas ordinaire. « Carlos Sainz peut compter sur les deux autres Audi encore en course pour gagner, eh bien, Sébastien Loeb pourra compter sur nous ! »
Le patron-pilote décide donc de sacrifier une de ses deux roues de secours pour pouvoir lui venir en aide. « Quand on l’a vu en panne au km 132, on s’est arrêté, mais Seb nous a dit de continuer, parce que c’était mort pour lui à cause d’un triangle cassé. On a donc poursuivi notre route… »


Sauf que Loeb va pouvoir réparer et rattraper plus tard dans la journée l’équipage d’Ydeo, qui avait entre-temps rendu la fameuse roue à l’assistance de Prodrive. 
« En fin de spéciale, Seb n’arrêtait pas de crever et aurait bien eu besoin de la roue, mais on n’avait plus rien à lui donner », s’excuse Benoît Fretin, rassuré de savoir que le champion a pu rallier l’arrivée et reste en course pour le podium. 
Comble de l’histoire : l’ange gardien d’Ydeo a dû finir la spéciale sur la jante, après une triple crevaison et plus de roue de secours !
Quant à Jérémie Renou et Nicolas Larroquet (#425), qui ont suivi d’un œil bienveillant cette tentative d’assistance, ils ont fait une « Loeb » à dix kilomètres de l’arrivée : « On a cassé un cardan que Nicolas a pu réparer sur place », explique le pilote, 16e à l’arrivée de la spéciale en SSV.


Après cette journée agitée, Ydeo Compétition compte terminer sereinement son Dakar ce vendredi, lors de la « parade » autour de Yanbu. S’il finit sur le podium, Sébastien Loeb pourra associer l’équipe dans sa réussite !

Heureux qui, comme Ydeo Compétition, a fait un beau voyage

Cette 46e édition du Dakar était homérique. Grâce à un travail d’équipe et une abnégation de tous les instants, deux des trois équipages d’Ydeo Compétition en ont vu le bout, ce vendredi en Arabie saoudite. De quoi se constituer des souvenirs pour la vie et surtout de nourrir l’envie d’y replonger !

Des rochers monumentaux d’Al-‘Ula, le 5 janvier, à la plage de Yanbu, sur les rives de la mer Rouge, ce vendredi, ils ont fait un long voyage. Celui-ci s’est achevé en beauté.
Quelque 5000 kilomètres chronométrés pour une grande boucle à travers le royaume saoudien ont permis de dérouler des décors à couper le souffle, avec en point d’orgue une plongée vertigineuse dans les dunes de l’Empty Quarter, mais ont aussi réservé leur lot de pièges, donc de péripéties.
L’essentiel est assuré pour les équipages Benoît Fretin/Cédric Duplé (#261) et Jérémie Renou/Nicolas Larroquet (#425), à savoir repartir du Dakar-2024 avec la médaille de ‘’finisher’’, le seul objectif affiché sur la ligne de départ deux semaines plus tôt.
Dans l’habitacle de leur Century CR6 deux roues motrices, Fretin/Duplé prennent ainsi la 49e place au général, juste derrière l’Audi de Mattias Ekström !


« En tant que pilote, je suis content d’être allé au bout de mon deuxième Dakar, savoure Benoît Fretin. Mais en tant que manager du team, je ne suis qu’au deux-tiers satisfait. On était trois au départ, il nous en manque un à l’arrivée… »


Le mythique rallye-raid s’est en effet montré impitoyable avec le binôme Patrice Etienne/Antoine Sanchez, contraint de jeter l’éponge à Al Duwadimi au soir de la 2e étape en raison de douleurs récurrentes aux cervicales pour le pilote du deuxième Century.
Concernant les débutants Jérémie Renou/Nicolas Larroquet, ce Dakar initiatique aura été un apprentissage en accéléré, chaque jour passé et chaque problème résolu sur leur buggy Can-Am renforçant le capital confiance. Ils finissent 83es, toutes autos confondues, et 18es de la catégorie SSV.


« Je m’étais mis énormément de pression avant le départ, parce que j’appréhendais la difficulté, reconnaît Jérémy Renou. En première semaine, on a subi, le temps de trouver les bons réglages et le rythme adéquat, et on a pu prendre du plaisir en seconde partie de rallye. Je termine frais, prêt à repartir en sens inverse pour deux semaines ! »


Pour revivre pareilles émotions, il faudra toutefois attendre une petite année, jusqu’au Dakar-2025. Chez Ydeo Compétition, tout le monde a hâte de rempiler !